Evêque de Lyon et confesseur ayant vécu aux environs de l'an 435, se fête le 26 mars
Cette fête, organisée à Brantôme autour du 2 mai, est celle du petit enfant saint Sicaire, dont les reliques se trouvent dans une châsse exposée dans l’abbatiale Saint-Pierre.
Il y a 200 ans, à Bethléem, le roi Hérode aurait ordonné à ses soldats de massacrer tous les enfants de moins de 5 ans, suite à la naissance de Jésus de Nazareth. Des années plus tard, un pape offrit à Pépin le Bref, père de Charlemagne, une relique de l’enfant martyr. Celle-ci a été remise à l’abbaye de Brantôme un 2 mai. C’est donc cette fête religieuse qui est célébrée.
D’autres racontent, que lors de son passage à Brantôme, Charlemagne a remis les reliques de saint Sicaire, à la condition que les moines de l’époque construisent une abbaye. Quoi qu’il en soit, les reliques se trouvent toujours à l’abbatiale Saint-Pierre de Brantôme et la fête est au rendez-vous chaque année.
Sigismond, fils de Gondebaud, est un roi des Burgondes de 516 à 523, vénéré comme saint par l'Église catholique et l'Église orthodoxe. Il est le protecteur traditionnel des hommes d'armes.
Sigismond est mis au rang des saints, à cause de son repentir, de sa fin malheureuse et surtout de ses riches dons aux églises.
Le puits où ses restes ont été jetés se situe dans le village homonyme, situé dans le Loiret, au sud de Patay.
L'église de ce village est construite sur ce puits dont l'eau était réputée guérir des fièvres.
Des pèlerinages étaient organisés encore dans la première partie du xxe siècle.
Aujourd'hui encore, selon la tradition populaire locale, les femmes de Coulemelle (hameau de la commune voisine de Saint-Péravy-la-Colombe) auraient aidé à jeter saint Sigismond dans le fameux puits. Un proverbe local dit que « les filles de Coulemelle ne seront jamais ni bonnes ni belles parce qu'elles ont jeté saint Sigismond dans le puits ».
Saint Simon de Trente est une figure tragique et émouvante dans l’histoire de l’Église catholique, incarnant l’innocence et le martyre.
Né à Trente, une ville qui deviendra célèbre pour le Concile œcuménique tenu au milieu du XVIe siècle contre la Réforme protestante, Simon est devenu un symbole poignant de la persécution chrétienne au XVe siècle.
Le Contexte Historique de Trente La ville de Trente, située dans le nord de l’Italie, est connue pour avoir été le siège du Concile de Trente (1545-1563), un événement crucial dans l’histoire de l’Église catholique qui visait à contrer les réformes protestantes et à clarifier la doctrine catholique. Cependant, bien avant cet événement marquant, Trente a été le théâtre d’un épisode tragique impliquant la mort de l’enfant Simon en 1472, un événement qui résonne encore dans la mémoire collective de la communauté chrétienne.
Simon de Trente a été rapidement vénéré comme martyr et saint par la communauté chrétienne locale. Son martyre a été interprété comme un témoignage poignant de la souffrance innocente et de la fidélité à la foi chrétienne face à la persécution. Des églises et des sanctuaires ont été dédiés à sa mémoire, et il est devenu un symbole de l’innocence chrétienne persécutée.
Saint Trojan vient de Trojanus qui fut un évêque vertueux de Saintes en 511, il accomplissait des miracles qui attiraient les fidèles croyants et convertissaient les autres.
Pas de fontaines, à ma connaissance, faisant référence à ce Saint.
Saint Vidian ou Vivien d'Aliscans, chevalier de Charlemagne, martyr par la main des musulmans près de Martres-Tolosane, fêté le 27 août.
Au IXe siècle, saint Vidian et son armée meurt martyr des invasions sarrasines, saint Vidian est alors enterré dans l'église. Au X e siècle, un prieuré et son sanctuaire dépendant de l'abbaye de Saint-Sernin de Toulouse s'implante sur les lieux.
Nous sommes dans la seconde moitié du VIIIe siècle après JC, le sud de la France et plus particulièrement le Midi est tour à tour sous la domination des Wisigoths, des Francs et des Sarrasins. Un noble Franc, ardent défenseur de la chrétienté a été fait prisonnier lors d’une bataille par le seigneur Sarrasin de Lucerne (Lusierna, ville de Galice, en Espagne).
Après quelques années de détention, le souverain propose de le libérer si son fils le remplace. Ce fils, Vidian, encore adolescent, accepte et se rend en Espagne pour prendre la place de son père. N’arrivant pas à le convertir à l’Islam, le seigneur Sarrasin le vend comme esclave à une riche commerçante étrangère. Conquise par ses qualités, elle en fit son fils adoptif et l’initie au commerce lors de nombreux voyages à travers les mers. Devenu adulte, Vidian revend tous ses biens acquis par le négoce, et organise une croisade pour accomplir son voeu le plus cher : revenir à Lucerne pour y vaincre le roi Sarrasin.
Grâce à ses qualités militaires et sa bravoure, il réussit son entreprise, détruit la ville et son roi, puis revient en France auréolée de ce succès. Sur ces entrefaites, les sarrasins mènent d’importantes incursions dans le Midi de la France à la fin du VIIIe siècle et viennent assiéger les portes de l’actuelle ville de Martres-Tolosane. Accouru à la tête d’une armée, le duc Vidian lui livre bataille sur les bords de la Garonne : il met les Sarrasins en fuite et s’acharne à leur poursuite. Harassé de fatigue, atteint de plusieurs blessures, il descend de cheval auprès d’une fontaine pour se reposer et laver ses plaies. Un détachement ennemi survient à ce moment et Vidian périt accablé par le nombre. La nouvelle de cette mort ranime le courage des Sarrasins qui détruisent toute l’armée Chrétienne et s’emparent d’Angonia. Lorsque le flot de l’invasion fût passé, les fidèles enterraient les restes de Vidian et de ses compagnons : des miracles se firent immédiatement sur leur tombeau et le nom d’Angonia (ancien nom antique présumé) fut remplacé par Martres-Tolosane, ou ville des martyrs de Toulouse.
Saint Vidian ou Vivien d'Aliscans, chevalier de Charlemagne, martyr par la main des musulmans près de Martres-Tolosane, fêté le 27 août.
Au IXe siècle, saint Vidian et son armée meurt martyr des invasions sarrasines, saint Vidian est alors enterré dans l'église. Au X e siècle, un prieuré et son sanctuaire dépendant de l'abbaye de Saint-Sernin de Toulouse s'implante sur les lieux.
Nous sommes dans la seconde moitié du VIIIe siècle après JC, le sud de la France et plus particulièrement le Midi est tour à tour sous la domination des Wisigoths, des Francs et des Sarrasins. Un noble Franc, ardent défenseur de la chrétienté a été fait prisonnier lors d’une bataille par le seigneur Sarrasin de Lucerne (Lusierna, ville de Galice, en Espagne).
Après quelques années de détention, le souverain propose de le libérer si son fils le remplace. Ce fils, Vidian, encore adolescent, accepte et se rend en Espagne pour prendre la place de son père. N’arrivant pas à le convertir à l’Islam, le seigneur Sarrasin le vend comme esclave à une riche commerçante étrangère. Conquise par ses qualités, elle en fit son fils adoptif et l’initie au commerce lors de nombreux voyages à travers les mers. Devenu adulte, Vidian revend tous ses biens acquis par le négoce, et organise une croisade pour accomplir son voeu le plus cher : revenir à Lucerne pour y vaincre le roi Sarrasin.
Grâce à ses qualités militaires et sa bravoure, il réussit son entreprise, détruit la ville et son roi, puis revient en France auréolée de ce succès. Sur ces entrefaites, les sarrasins mènent d’importantes incursions dans le Midi de la France à la fin du VIIIe siècle et viennent assiéger les portes de l’actuelle ville de Martres-Tolosane. Accouru à la tête d’une armée, le duc Vidian lui livre bataille sur les bords de la Garonne : il met les Sarrasins en fuite et s’acharne à leur poursuite. Harassé de fatigue, atteint de plusieurs blessures, il descend de cheval auprès d’une fontaine pour se reposer et laver ses plaies. Un détachement ennemi survient à ce moment et Vidian périt accablé par le nombre. La nouvelle de cette mort ranime le courage des Sarrasins qui détruisent toute l’armée Chrétienne et s’emparent d’Angonia. Lorsque le flot de l’invasion fût passé, les fidèles enterraient les restes de Vidian et de ses compagnons : des miracles se firent immédiatement sur leur tombeau et le nom d’Angonia (ancien nom antique présumé) fut remplacé par Martres-Tolosane, ou ville des martyrs de Toulouse.
Diacre et martyr du IVème siècle est le Saint Patron des vignerons.
Une nouvelle date de naissance après recalcul des différents calendriers a été déterminée le 5 Avril 1580
Décédé le 27 septembre 1660
Fontaines à Montaut (disparue), Serres Gaston
Evêque de Saintes (Ve siècle) saint Vivien
Originaire de Saintes, il devint administrateur de la région de Saintes par décision de l'empereur Honorius, puis, renonçant à cette charge, il devint prêtre et évêque.
Il connut l'invasion des Visigoths d'Espagne et accompagna les prisonniers jusqu'à Toulouse pour les soutenir dans leur épreuve. Il gagna l'estime du roi Théodoric et put obtenir de lui, quelque temps plus tard, la libération des prisonniers. Il est reconnu au martyrologe romain, mais n'est fêté que dans le diocèse de La Rochelle. "Vivien est l'un des mieux connus des premiers évêques de Saintes. Né d'un père païen et d'une mère chrétienne vers la fin du IVe siècle, il a grandi à l'ombre de l'évêque Ambroise et a été élu pour le remplacer à la mort de celui-ci, au début du Ve siècle. Les temps troublés de son épiscopat le conduisirent à prendre très directement la défense du peuple dont il avait la charge. Il se rendit à Toulouse pour plaider auprès du roi Wisigoth Théodoric des réductions d'impôts que les saintais ne pouvaient acquitter. Il vint aussi au secours de son peuple menacé par les incursions des pirates saxons. Il fit enfin réédifier l'église-mère (cathédrale) de la cité." (calendrier liturgique diocésain du diocèse de La Rochelle Saintes)
Patron breton, les touristes de cette région lui rendent hommage pendant leurs vacances.
Patron des marins et des avocats
Saint-Yves est un saint guérisseur d'après les croyants et malgré l'interdiction de l’Évéché de Bordeaux, chaque 19 mai, on vient frotter un linge sur la statue pour provoquer la guérison chez un malade.
On parle de "frotter Saint Yves".
La réputation de faiseurs de miracles de Saint-Yves se retrouve dans un document de 1708 attribué au cartographe Claude Masse qui écrit que la petite chapelle de Saint-Yves à Audenge (33) fait quantité de miracles.
Fontaine à Moustey
Sainte-Agathe de Catane ou Agathe de Sicile est une sainte chrétienne, vierge et martyre, née en 231, décédée en 251, et fêtée le 5 février.
Sainte-Agathe est la patronne des nourrices, des bijoutiers, des fondeurs de cloches. Son nom signifie « bonté ».
( Jacques de Voragine(link is external), La Légende dorée(link is external), Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 2004)
Un clic pour découvrir l’histoire de Sainte Agathe (Lundi 05 Février 2018 : Fête de Sainte Agathe de Catane, vierge et martyre en Sicile ( 251).